agonia ukraine v3	Agonia â€“ Ð›Ñ–Ñ‚ÐµÑ€Ð°Ñ‚ÑƒÑ€Ð½Ñ– Ð¼Ð°Ð¹ÑÑ‚ÐµÑ€Ð½Ñ– \| ÐŸÑ€Ð°Ð²Ð¸Ð»Ð° \| Mission	ÐšÐ¾Ð½Ñ‚Ð°ÐºÑ‚ \| Ð’Ð¿Ð¸ÑˆÑ–Ñ‚ÑŒÑÑ



Ð¡Ñ‚Ð°Ñ‚Ñ‚Ñ Ð¢Ð¾Ð²Ð°Ñ€Ð¸ÑÑ‚Ð²Ð° ÐšÐ¾Ð½ÐºÑƒÑ€Ñ Ð•ÑÐµ ÐœÑƒÐ»ÑŒÑ‚Ñ–Ð¼ÐµÐ´Ñ–Ñ ÐŸÐµÑ€ÑÐ¾Ð½Ð°Ð»ÑŒÐ½Ñ– ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ ÐŸÑ€ÐµÑÐ°

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Jules Supervielle[Jules_Supervielle]




ÐœÑ–ÑÑ‚Ð¾ Ð¿Ñ€Ð¾Ð¶Ð¸Ð²Ð°Ð½Ð½Ñ: ÐœÐ°Ñ” Ñ€Ñ–Ð´Ð½Ð¸Ð¹ ÑÐ·Ð¸Ðº Ð‘Ñ–Ð¾Ð³Ñ€Ð°Ñ„Ñ–Ñ Jules Supervielle ÐŸÐµÑ€ÑÐ¾Ð½Ð°Ð»ÑŒÐ½Ð° ÑÑ‚Ð¾Ñ€Ñ–Ð½ÐºÐ° web Jules Supervielle ÐŸÑ€ÑÐ¼Ð¸Ð¹ Ð°Ð´Ñ€ÐµÑ Ñ†ÑŒÐ¾Ð³Ð¾ Ð°Ð²Ñ‚Ð¾Ñ€Ð° :	Authorship & Copyright Protection (beta):



Ð°ÐºÑ‚Ð¸Ð²Ð½Ñ– ÐºÐ¾Ð»ÐµÐºÑ†Ñ–Ñ— Ñ†ÑŒÐ¾Ð³Ð¾ Ð°Ð²Ñ‚Ð¾Ñ€Ð°:

ÐÐ°Ð¹Ð½Ð¾Ð²Ñ–ÑˆÑ– Ð²Ð½ÐµÑÐµÐ½Ñ– Ñ‚ÐµÐºÑÑ‚Ð¸ ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ (22) Ð’ÑÑ– (22)


ÐÐ°Ð¹Ð½Ð¾Ð²Ñ–ÑˆÑ– Ð²Ð½ÐµÑÐµÐ½Ñ– Ñ‚ÐµÐºÑÑ‚Ð¸	ÐšÐ¾Ð¼ÐµÐ½Ñ‚Ð°Ñ€Ñ–:	Ð¢ÐµÐºÑÑ‚Ð¸ Ð²Ð½ÐµÑÐµÐ½Ñ– Ð´Ð¾ Ð±Ñ–Ð±Ð»Ñ–Ð¾Ñ‚ÐµÐºÐ¸:

ÑÑ‚Ð¾Ñ€Ñ–Ð½ÐºÐ°: 1 Attendre que la Nuit... : Les amis inconnus ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-15 (18937 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Coeur : Le forçat innocent ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-12-20 (17407 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Descente de Géants : ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-15 (18704 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Encore frissonnant... : La fable du monde ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-15 (15894 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Je cherche autour de moi plus d’ombre et de douceur : Le forçat innocent ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-12-20 (13186 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Les amis inconnus : Les amis inconnus ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-13 (21878 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Les chevaux du Temps : Les amis inconnus ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-14 (20812 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Les yeux : ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2010-11-01 (12565 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Livrez vos mains aux miennes... : Le forçat innocent ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-12-20 (11301 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) L'allée : Les amis inconnus ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-14 (31928 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) L'Arbre : Les amis inconnus ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-15 (19167 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) L’âme : ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2010-11-01 (11693 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Ne tourne pas la tête... : Le forçat innocent ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-12-20 (12390 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Nocturne en plein jour : La fable du monde ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-15 (17463 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Prière à l'inconnu : Jules Supervielle ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-04-10 (18309 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Singurătate : traducere de Cristina-Monica Moldoveanu ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2010-06-21 (12821 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Solitude : ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2010-06-21 (12462 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Supplique : Le forçat innocent ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2005-01-17 (13052 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Un poète : Les amis inconnus ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-11-15 (17963 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Vivante ou morte ... : Le forçat innocent ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2005-01-17 (11197 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Vivre encore : Jules Supervielle ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2004-04-10 (32042 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) Whisper in Agony : Le forçat innocent ÐŸÐ¾ÐµÐ·Ñ–Ñ 2005-01-17 (12643 Ð°Ñ„Ñ–ÑˆÑƒÐ²Ð°Ð½Ð½Ñ) ÑÑ‚Ð¾Ñ€Ñ–Ð½ÐºÐ°: 1

Ð‘Ñ–Ð¾Ð³Ñ€Ð°Ñ„Ñ–Ñ Jules Supervielle Jules Supervielle (1884-1960) Poète, romancier et dramaturge français, auteur d\'une poésie très personnelle, hantée par l\'angoisse de l\'absence et le sens du mystère. Né à Montevideo, en Uruguay, issu d\'une famille de grande bourgeoisie, orphelin huit mois après sa naissance, il fut élevé par son oncle et sa tante, et partagea sa vie entre la France et l\'Amérique du Sud. Il se maria en 1904, et fut père de six enfants. Tandis que ses premiers poèmes sont d\'une facture assez traditionnelle (Brumes du passé, 1900 ; Comme des voiliers, 1910), la fréquentation de Jules Laforgue le poussa à cultiver l\'humour (Poèmes de l\'humour triste, 1919). Il se libéra de toute influence à partir de Débarcadères (1922), le premier de ses recueils en vers libres, où se retrouve toutefois le goût pour les voyages qu\'il partageait avec Valéry Larbaud. Après un roman fantastique (L\'Homme de la pampa, 1923), Supervielle explora, dans sa poésie, le fond le plus obscur de sa personnalité (Gravitations ; Le Voleur d\'enfants ; Le Forçat innocent ; Les Amis inconnus ; La Fable du monde). Il publia aussi des récits (L\'Enfant de la haute mer ; Boire à la source), écrivit pour le théâtre (La Belle au bois). La maladie le retint en Uruguay pendant la guerre, qui lui inspira des poèmes âpres et mystiques (1939-1945 ; La nuit). Sa poésie devint ensuite plus facile d\'accès et s\'inspira de contes mythologiques (Robinson ; Shéhérazade). Il obtint le prix des Critiques en 1949, pour Oublieuse mémoire, et celui de l\'Académie française, pour l\'ensemble de son œuvre, en 1955. Après quelques recueils moins inventifs, il trouva des accents nouveaux dans le Corps tragique (1959), sorte de méditation sur la mort. Dans ses poèmes, la rêverie personnelle atteint souvent une dimension cosmique, « Supervielle, Jules », Encyclopédie Microsoft® Encarta® 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

Ð›Ñ–Ñ‚ÐµÑ€Ð°Ñ‚ÑƒÑ€Ð½Ð¸Ð¹ Ð´Ñ–Ð¼, Ð¿Ð¾ÐµÐ·Ñ–Ñ—Ñ— Ñ‚Ð° ÐºÑƒÐ»ÑŒÑ‚ÑƒÑ€Ð¸. Ð¿Ð¸ÑˆÑ–Ñ‚ÑŒ Ñ– Ð½Ð°ÑÐ¾Ð»Ð¾Ð´Ð¶ÑƒÐ¹Ñ‚ÐµÑÑŒ ÑÑ‚Ð°Ñ‚Ñ‚Ñ–, ÐµÑÐµ, Ð¿Ñ€Ð¾Ð·Ð°, ÐºÐ»Ð°ÑÐ¸ÐºÐ° Ñ‚Ð° ÐºÐ¾Ð½ÐºÑƒÑ€ÑÐ¸.